Vous devez connaître ces journées, où il fait gris et froid dès le matin, où il pleut des cordes l'après-midi. Ces journées où vous avez des choses importantes à faire, que vous ne réussissez pas, parce que c'est une journée comme a, où on a l'impression que tout l'univers se bat contre soi.
Et puis on rentre défaitiste, la tête baissée. Seulement dans ma vie il y a Rafa. Et quand je rentre et que je vois ce genre de photo, mon sourire réapparaît. Et c'est pour cette raison que je lui en suis reconnaissante. Parce qu'il nous surprend toujours là ou on le l'attend pas. Gracias Campeon.

Rafa récupère son titre à Rome, et reprend sa place de numéro 2 mondial !
Par Eurosport - Sébastien PETIT
Vainqueur de Novak Djokovic lundi (7-5, 6-3), Rafael Nadal récupère son titre à Rome et la 2e place mondiale au détriment de Federer. Le Majorquin décroche son sixième titre dans le Foro Italico et son 21e titre en Masters 1000. A quelques jours du début de Roland-Garros, le message est fort.
Rafael Nadal a récupéré ses biens. Et à l'heure de défendre son titre à Roland-Garros, ce n'est pas rien. Un an après la double désillusion de Madrid et Rome, l'Espagnol a repris le trophée romain des mains de Novak Djokovic après 2h20 de jeu, dans une finale repoussée à lundi à cause de la pluie (7-5, 6-3). Ce sixième sacre du Majorquin dans le Foro Italico lui permet de revenir à la deuxième place mondiale au détriment de Roger Federer et de conserver sa tête de série N.2 à Paris. Son septième titre aux Internationaux de France, qui ferait date dans l'histoire du tournoi du Grand Chelem, est plus que jamais d'actualité.
Il a suffi d'un peu d'ocre sur la terre battue, après un intermède bleu à Madrid, pour remettre Nadal sur de bons rails et remettre en question la domination de Novak Djokovic, encore si nette il y a peu. Battu un lundi en cinq manches à l'Open d'Australie fin janvier, l'Espagnol a repris ses fondamentaux pour dominer le numéro un mondial : la défense à outrance. En tenant sa ligne de fond de court avec brio, Nadal a su contrer les attaques du Serbe qui a fini par craquer. Au final, 41 fautes directes ont émaillé le jeu du Serbe, comme Roger Federer en demi-finales, contre 22 coups gagnants. Si le Majorquin n'a pas eu un ratio plus reluisant (15 coups gagnants/21 fautes directes), ses mises en jeu ont fait le reste, notamment sur secondes balles avec 57% de réussite (17/30), là où le Serbe n'accuse que 37% (10/27). Une statistique qui démontre que le numéro un mondial a plié dans un secteur de jeu où il savait faire la différence aurapavant.
Deuxième victoire de suite sur Djokovic
Sous un ciel menaçant qui a finalement retenu ses gouttes, l'Espagnol a fait la pluie et le beau temps dès le début de match. S'il a manqué trois balles de break d'entrée de jeu, la quatrième a été la bonne pour prendre l'avantage. La réponse de Djokovic ne s'est pas fait attendre avec un débreak immédiat. Mais à 5-4 sur le service de Nadal, il a manqué l'occasion de se procurer une balle de set en raison d'un jugement trop hâtif d'un arbitre de ligne. Ce fait de jeu a semblé déstabiliser le Serbe qui a perdu les quatre jeux suivants, la première manche en prime. Le break de retard dans le second set n'a jamais pu être comblé par Djokovic, qui a manqué de convertir six balles de break sur sept sur l'ensemble du match.
S'inclinant ainsi pour la deuxième fois de suite face à cet adversaire, ce qui lui était plus arrivé depuis un an et demi, le numéro un mondial perd ainsi un cinquième trophée conquis en 2011. Et remet un peu plus de doute quant à sa capacité de réaliser le "Djoko Slam" en juin prochain. Une chose est sûre, s'il se retrouve en finale, il pourrait bien avoir en face de lui le même Rafael Nadal, en route pour détrôner Bjorn Borg pour de bon comme recordman de victoires Porte d'Auteuil. Et devenir aux yeux de tous le meilleur joueur sur terre battue de tous les temps.

Photos Match :
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Photos Cérémonie :
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[ 21 ] [ 22 ]

Voilà un petit article du voyage de Rafa dans la ville de Rome pour un site de voyages.
Il y parle de son hôtel rue Gerolamo Frescobaldi 5, de sa visite du Colisée, un endroit qu'il aime beaucoup car ça lui fait penser à son film préféré Gladiator, de la place Saint-Pierre (Vatican) vide, car très tôt le matin, le restaurant de poissons Le Tamerici tout proche de la fontaine de Trévi, où il a pu déguster des très bonnes huiles d'olives ...
Bref une ville qu'il adore, mais dont il n'a pas le temps de toujours bien visiter entre tous ses entraînements.

21 mai 2012 :
" Je suis rentré ... et très content !"

Et puis on rentre défaitiste, la tête baissée. Seulement dans ma vie il y a Rafa. Et quand je rentre et que je vois ce genre de photo, mon sourire réapparaît. Et c'est pour cette raison que je lui en suis reconnaissante. Parce qu'il nous surprend toujours là ou on le l'attend pas. Gracias Campeon.

Rafa récupère son titre à Rome, et reprend sa place de numéro 2 mondial !
Par Eurosport - Sébastien PETIT
Vainqueur de Novak Djokovic lundi (7-5, 6-3), Rafael Nadal récupère son titre à Rome et la 2e place mondiale au détriment de Federer. Le Majorquin décroche son sixième titre dans le Foro Italico et son 21e titre en Masters 1000. A quelques jours du début de Roland-Garros, le message est fort.
Rafael Nadal a récupéré ses biens. Et à l'heure de défendre son titre à Roland-Garros, ce n'est pas rien. Un an après la double désillusion de Madrid et Rome, l'Espagnol a repris le trophée romain des mains de Novak Djokovic après 2h20 de jeu, dans une finale repoussée à lundi à cause de la pluie (7-5, 6-3). Ce sixième sacre du Majorquin dans le Foro Italico lui permet de revenir à la deuxième place mondiale au détriment de Roger Federer et de conserver sa tête de série N.2 à Paris. Son septième titre aux Internationaux de France, qui ferait date dans l'histoire du tournoi du Grand Chelem, est plus que jamais d'actualité.
Il a suffi d'un peu d'ocre sur la terre battue, après un intermède bleu à Madrid, pour remettre Nadal sur de bons rails et remettre en question la domination de Novak Djokovic, encore si nette il y a peu. Battu un lundi en cinq manches à l'Open d'Australie fin janvier, l'Espagnol a repris ses fondamentaux pour dominer le numéro un mondial : la défense à outrance. En tenant sa ligne de fond de court avec brio, Nadal a su contrer les attaques du Serbe qui a fini par craquer. Au final, 41 fautes directes ont émaillé le jeu du Serbe, comme Roger Federer en demi-finales, contre 22 coups gagnants. Si le Majorquin n'a pas eu un ratio plus reluisant (15 coups gagnants/21 fautes directes), ses mises en jeu ont fait le reste, notamment sur secondes balles avec 57% de réussite (17/30), là où le Serbe n'accuse que 37% (10/27). Une statistique qui démontre que le numéro un mondial a plié dans un secteur de jeu où il savait faire la différence aurapavant.
Deuxième victoire de suite sur Djokovic
Sous un ciel menaçant qui a finalement retenu ses gouttes, l'Espagnol a fait la pluie et le beau temps dès le début de match. S'il a manqué trois balles de break d'entrée de jeu, la quatrième a été la bonne pour prendre l'avantage. La réponse de Djokovic ne s'est pas fait attendre avec un débreak immédiat. Mais à 5-4 sur le service de Nadal, il a manqué l'occasion de se procurer une balle de set en raison d'un jugement trop hâtif d'un arbitre de ligne. Ce fait de jeu a semblé déstabiliser le Serbe qui a perdu les quatre jeux suivants, la première manche en prime. Le break de retard dans le second set n'a jamais pu être comblé par Djokovic, qui a manqué de convertir six balles de break sur sept sur l'ensemble du match.
S'inclinant ainsi pour la deuxième fois de suite face à cet adversaire, ce qui lui était plus arrivé depuis un an et demi, le numéro un mondial perd ainsi un cinquième trophée conquis en 2011. Et remet un peu plus de doute quant à sa capacité de réaliser le "Djoko Slam" en juin prochain. Une chose est sûre, s'il se retrouve en finale, il pourrait bien avoir en face de lui le même Rafael Nadal, en route pour détrôner Bjorn Borg pour de bon comme recordman de victoires Porte d'Auteuil. Et devenir aux yeux de tous le meilleur joueur sur terre battue de tous les temps.

Photos Match :
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Voilà un petit article du voyage de Rafa dans la ville de Rome pour un site de voyages.
Il y parle de son hôtel rue Gerolamo Frescobaldi 5, de sa visite du Colisée, un endroit qu'il aime beaucoup car ça lui fait penser à son film préféré Gladiator, de la place Saint-Pierre (Vatican) vide, car très tôt le matin, le restaurant de poissons Le Tamerici tout proche de la fontaine de Trévi, où il a pu déguster des très bonnes huiles d'olives ...
Bref une ville qu'il adore, mais dont il n'a pas le temps de toujours bien visiter entre tous ses entraînements.

21 mai 2012 :
" Je suis rentré ... et très content !"

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